La transparence est toujours de mise chez Dynalec et l’humain reste notre fil rouge. Alors nous vous proposons une nouvelle série d’articles afin de mieux nous connaître. Nous démarrons ici avec une présentation de la cellule chiffrages, votre porte d’entrée chez Dynalec.
Des Hommes
La cellule chiffrage est aujourd’hui composée de 4 personnes : Robert, Jannick, Stéphane et Vincent.
- Robert est un des co-fondateurs de Dynalec, (fondée en 1999 avec Monsieur et Madame Boivin), il gère les clients du secteur industriel, la marine et les nouveaux clients.
- Jannick s’occupe particulièrement du froid commercial, la GMS qui est l’activité historique de Dynalec avant son développement vers d’autres secteurs. Jannick est arrivé en 1999, un mois seulement après la création de l’entreprise.
- Stéphane est dans l’entreprise depuis 6 ans pour développer notamment le secteur CVC. Sa mission a évolué vers les dossiers semi-industriels ou en lien avec la récupération d’énergie et le dispositif CEE
- Vincent gère quant à lui la partie programmation, supervision et vient en renfort de l’équipe chiffrages. Il est chez Dynalec depuis 10 ans.
Leurs métiers changent selon les attentes des clients et les évolutions du matériel. Il faut suivre le marché et les tendances actuelles (économies d’énergie, récupération de chaleur)
Et des missions
Comme nous l’avons précisé en introduction, Cette cellule est en fait la porte d’entrée de chez Dynalec, dans le sens ou tous les clients qui souhaitent travailler avec Dynalec, passe par la cellule chiffrages.
« Nous sommes chiffreurs, mais aussi commerciaux. Nous réceptionnons les demandes des clients, sommes attentifs à leurs attentes et centralisons leurs données. Nous traitons les demandes avant de les transmettre aux autres services ».
Précise Jannick. L’équipe s’occupe également de faire les dossiers de fabrication pour la seconde étape du parcours client qu’est le Bureau d’Études. Si leur rôle peut aisément s’apparenter à celui d’un chargé d’affaires, le fonctionnement est un peu différent chez Dynalec.
Ici, l’équipe ne suit pas l’intégralité de l’affaire, passer le chiffrage et le devis, la demande est transmise au Bureau d’études, puis à la production etc. Cette organisation, peut-être atypique, tient à plusieurs choses : la taille de l’entreprise, qui reste une petite PME et l’organisation SCOP de Dynalec. La confiance est toujours au cœur de l’organisation, chaque collabor’acteur est associé et parfaitement impliqué. « Nous savons que nous pouvons passer le dossier aux autres services en toute confiance », précise Stéphane. Ceci étant l’équipe chiffrages, à l’origine du dossier est toujours présente pour répondre aux éventuelles questions tout au long du processus.
La cellule chiffrages au sein d’une SCOP et chez Dynalec
Pour mémoire, si vous êtes un nouveau lecteur, Dynalec est passée au statut SCOP en 2012. Chaque salarié est associé dans l’entreprise et partage un certain nombre de valeurs. Nous avons donc demandé aux membres de la cellule chiffrages ce qui, selon eux, change quand on fait ce métier dans une SCOP d’une part et chez Dynalec d’autre part.
Jannick :« nous avons gagné en autonomie, il n’y a pas de hiérarchie entre les services, nous sommes autonomes sur notre poste. Nous avons fixé nous-mêmes nos objectifs, nous avons donc une réelle liberté d’entreprendre. Tout le monde s’écoute et se respecte, en cas de problème nous nous mettons tous autour d’une table pour en parler. C’est plus facile de travailler dans cette ambiance. L’expérience passée l’année dernière en autogestion, pendant l’absence de Fabrice et Sophie, nous a fait passer des caps. Personnellement j’ai beaucoup appris et cela n’est possible que dans ce type d’organisation ».
Robert : « je partage l’avis de Jannick, j’ajouterai que chacun à sa fonction, les rôles sont bien distribués ce qui permet de bien faire son travail et de pouvoir passer plus de temps avec les clients. Il y a une confiance totale et mutuelle, c’est vraiment rassurant ».
Stéphane : « par rapport à mes autres expériences, la différence est dans la vision globale de l’entreprise. Nous voyons les chiffres, la gestion nous participons au pilotage de l’entreprise pour la pérenniser. En outre le transfert de savoir est ici naturel. Nous avons peu de turn-over, nous savons que les collaborateurs vont rester, nous pouvons donc nous engager, partager sur du long terme et c’est au bénéfice du client. Ce qui est important aussi c’est que nous pouvons oser, nous essayons et nous avons la possibilité de nous tromper sans jugements. Nous sommes tous acteurs du développement de Dynalec ».
Vincent : « pour moi c’est l’autonomie qui est importante. »
Si on résume, travailler dans une SCOP et chez Dynalec c’est : travailler en autonomie, avoir la liberté d’oser, de se dire des choses, avoir une vision globale de l’entreprise et être liée aux associés dans un projet commun autour de valeurs humaines partagées. De bonnes idées en somme que Dynalec vous livre ici pour vous inviter, peut-être à passer le cap de la SCOP… Si l’idée vous taraude nous sommes là pour échanger avec vous et partager notre expérience !