En 2012, sous l’impulsion du projet de reprise porté par Fabrice Audrain et soutenu par Sophie Talefaisse, l’équipe des dYnaleciens s’engage à transformer Dinalec SARL en Société Coopérative et Participative avec pour cible le centre des trois Sphères du Développement Durable, et pour ambition de devenir une Industrie actrice de la Transition Sociétale et Environnementale. Objectif : faire cohabiter Humain/Environnement & Capital.
Une des spécificités d’importance au sein d’une SCOP est son mode d’organisation démocratique où chaque Homme à 1 voix, quel que soit son poids dans le capital de l’entreprise.
Mais dès le début, chez dYnalec, la vision est d’aller plus loin. On parlera ici d’intrapreneurariat, de co-décision, de durabilité, de confiance, de bienveillance, d’autogestion, d’intérêt collectif. Tous les collabor’acteurs vont être amenés à participer activement aux réunions de gouvernance dont les décisions vont être arrêtées par consentement.
Le postulat de départ est de considérer dYnalec comme une personne bien vivante, composée d’organes vitaux : les collaboracteurs de dYnalec, qui se doivent d’accompagner sa croissance et de l’amener vers le chemin de l’autonomie, de la liberté, de la résilience, au service de la Transition pour un monde plus convivialiste. Comme on le dira souvent dans notre aventure, dYnalec aura pour volonté de devenir autre chose qu’un simple outil générateur de dividendes. Mais devenir une entreprise libérée prend du temps.
Nous vous proposons de retracer notre histoire sur cette période de 2012 à 2015 dans les 3 articles suivants :
• dYnalec et l’innovation sociale
• dYnalec et la chasse aux gaspillages
• le métier de dYnalec